27 août 2021
LOJIQ à la finale du Défi48
David Brassard-Potvin, coordonnateur du programme Entrepreneuriat, s’est déplacé à Drummondville pour assister à la grande finale du Défi48, samedi dernier, le 21 août. Il a pu remettre en main propre une bourse de mobilité de 2 000$ à Marie Josiane Kacou qui a remporté l’épreuve LOJIQ, une des 10 épreuves soumises aux finalistes de l’événement. Pour l’occasion, nous avons soutenu le déplacement et les frais de séjour de plus de 25 participants.
Le Défi48, c’est une compétition entrepreneuriale panquébécoise, qui consiste à lancer et créer une entreprise rentable, et ce, en ne disposant que d’un seul dollar et de 48 heures. En équipe de 4 ou 5, les participants doivent donc utiliser le budget et les ressources qui sont à leur disposition afin de tirer profit des opportunités, surmonter les épreuves de nature entrepreneuriale et économique, et enfin, vaincre l’adversité. L’objectif est simple : accumuler le plus de points et de profits possible avant que le temps ne soit écoulé tout en mettant de l’avant de bonnes pratiques financières. Ils doivent, entre autres, surmonter une crise économique, une pénurie de main-d’œuvre et un embargo commercial, tout en faisant croitre leur propre commerce.
Félicitations à tous les finalistes du Défi48!
Une épreuve LOJIQ
En marge de la compétition, les finalistes devaient également participer à l’épreuve LOJIQ, une des 10 épreuves de l’événement. De façon individuelle, et non pas en équipe cette fois-ci, ils devaient réaliser le plus de ventes possibles entre 20h et 8h, dans des pays de la Francophonie (autre que le Canada et le Québec). Au terme du 12h, c’est Marie Josiane Kacou qui a remporté la bourse de mobilité de 2 000$ offerte par LOJIQ.
Marie Josiane Kacou est conseillère en développement de l’attraction de la main-d’œuvre pour Place aux jeunes Lanaudière et les Carrefours jeunesse-emploi de Montcalm et de Matawinie. Depuis son arrivée au Canada en 2016, elle est curieuse d’en apprendre plus sur ce pays qui promouvoit l’entrepreneuriat et dont 50% de l’économie repose sur les PME. Lors de son MBA, elle a d’ailleurs basé son projet de recherche sur les PME de la région des Laurentides afin de mieux comprendre leur environnement. Depuis, elle a participé à plusieurs projets universitaires en recherche organisationnels visant à développer des marchés et aussi à comprendre certaines problématiques des PME au Québec. Passionnée, dynamique et aventureuse, elle rêve de promouvoir l’entrepreneuriat chez les jeunes :
« Je crois qu’à travers l’entrepreneuriat, on peut non seulement améliorer les conditions de vie de milliers de personnes, mais aussi changer le monde. »
Dans le cadre de l’épreuve LOJIQ, elle a décidé d’exploiter les illustrations et les cartes postales de son entreprise puisque ces produits sont très tendances et faciles à exporter. Grâce à plusieurs échanges et une baisse de prix afin qu’ils soient accessibles à la clientèle des pays d’Afrique francophones qui n’ont pas la même monnaie que le Canada, elle a pu remporté ce défi de vente.
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