3 jeunes réalisateurs québécois seront soutenus par LOJIQ lors de la 70e édition de la Berlinale – Le Festival international du film de Berlin, du 20 février au 1er mars. Mentionnons les courts métrages Celle qui porte la pluie, de Marianne Métivier dans la section Berlinale Shorts et Goodbye Golovin, de Mathieu Grimard dans la section Generation 14plus.

Le réalisateur Pier-Philippe Chevigny participe au Talent Project Market de la Berlinale 2020 pour y présenter son projet de long métrage de fiction Richelieu. Le Co-Production Market est l’un des plus importants marchés de coproduction au monde, regroupant près de 600 producteurs, agents de vente, distributeurs et diffuseurs de partout dans le monde. Il permet donc à des projets de qualité d’être présenté à d’éventuels partenaires de coproduction.

 

Les films du Québec à la Berlinale sont :

Celle qui porte la pluie
Réalisatrice : Marianne Métivier
Production : Clara L’Heureux-Garcia / Émile Lavoie
Section : Berlinale Shorts
Première internationale

Goodbye Golovin
Réalisateur : Mathieu Grimard
Production : Simon Corriveau-Gagné & Mathieu Grimard
Section : Generation 14plus
Première internationale

Richelieu
Réalisateur : Pier-Philippe Chevigny
Production : Les Foyer Films inc.
Section : Sélection des 36 projets internationaux de la section Co-Production Market

La Berlinale (Festival international du film de Berlin) se tient chaque année en février, à Berlin. Il s’agit d’un important marché de films et l’un des 3 principaux festivals de cinéma internationaux avec ceux de Cannes et de Venise.

Le court métrage québécois de Mathieu Grimard primé à Berlin!

Dans la section Generation 14plus, les courts métrages québécois ne seront pas passés inaperçus. Ainsi, le magnifique Clebs (Mutts), de Halima Ouardiri, a remporté vendredi l’Ours de cristal du meilleur court métrage de la section.

Quant à Goodbye Golovin, de Mathieu Grimard, il a reçu une mention spéciale dans cette catégorie pour sa plongée existentielle dans la vie d’un adolescent, soudain privé de père, en route vers sa libération. La beauté de la mise en scène, sa fluidité, ses fragments de souvenirs nourris de sensations lancinantes comme l’interprétation fine d’Olexandr Rudinskiy ont fortement impressionné le jury.

Le devoir, Odile Tremblay

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