10e Remise des Prix LOJIQ : le talent des jeunes mis à l’honneur à l’Assemblée nationale du Québec

LOJIQ – Les Offices jeunesse internationaux du Québec – a souligné le 8 juin 2023 devant plus de 200 invités le rayonnement, l’impact et l’excellence de 11 projets de mobilité jeunesse lors de sa dixième édition des Prix LOJIQ à l’Agora de l’Assemblée nationale du Québec.

Au total, ce sont 25 jeunes du Québec et de la Francophonie qui se sont démarqués, parmi les participants soutenus au cours des deux dernières années par LOJIQ, notamment par rapport aux acquis professionnels et personnels qu’ils ont générés, mais aussi pour leur contribution en faveur du développement et du rayonnement du Québec.

Retrouvez en image toute l’émotion et la joie de cette 10e édition des Prix LOJIQ.​

Pour souligner le 55e anniversaire de la création de l’Office franco-québécois pour la jeunesse, ce prix a été créé afin d’honorer la mémoire et de rendre hommage à monsieur Jean-Paul L’Allier, premier secrétaire général de l’OFQJ, une personnalité marquante de l’histoire des Offices. Ce Prix met en valeur la concrétisation d’un projet porté par la jeunesse et souligne l’importance de la relation bilatérale France-Québec.

La ministre des Relations internationales et de la Francophonie et ministre responsable de la Condition féminine, Mme Martine Biron, a remis le Grand Prix de la soirée aux co-fondateurs de l’entreprise Ferreol.

« Je félicite chaleureusement tous les jeunes ayant participé aux programmes de LOJIQ et les lauréats et lauréates de cette 10e édition des Prix LOJIQ. Si le Québec rayonne à l’international, c’est notamment grâce à cette jeunesse vivante et créative. Cette remise des Prix LOJIQ est un témoignage éloquent de l’ambition et de la créativité des jeunes Québécois. Provenant des quatre coins du Québec et de tous les secteurs, vous apportez des solutions novatrices aux nombreux défis actuels, vous bâtissez votre avenir. Bravo! ».

Martine Biron, ministre des Relations internationales et de la Francophonie et ministre responsable de la Condition féminine.

Le dirigeant de LOJIQ, monsieur Jean-Stéphane Bernard, a tenu pour sa part à souligner la qualité exceptionnelle des projets mis en lumière au cours de la soirée :

« Ce soir, nous honorons des jeunes soutenus par LOJIQ qui se sont distingués dans le cadre de leur démarche nationale ou internationale. Les projets qu’ils ont développés ont été déterminants pour eux, tant sur un plan personnel que dans leur parcours académique, professionnel et citoyen, mais ces projets sont également influents sur leur communauté, leur milieu de travail et la société. Je veux leur rappeler qu’ils sont notre richesse et le centre de toutes nos attentions ».

Jean-Stéphane Bernard, Président-directeur général de LOJIQ

Prix Développement durable 
Mégane Mandruzzato

Prix Innovation technologique
Cindy Romero-Luarca

Prix Jeunesse de la francophonie des Amériques
Abner Volsaint

Prix Implication sociale et volontariat
Laëtitia Vu

Prix Entrepreneuriat féminin
Salam Bouhabel

Prix 55e OFQJ Jean-Paul L’Allier
Anjelika Jangazina et Anastasiya Orlova

Prix Engagement citoyen
Étienne Boucher, Noémie Crousset-Roy, Antoine Dalterio, Selsabil Hamiham, Gilbert Niquay, Janel Poulin, Samuel Rainville, Élodie Sabourin, Tejeshwer Singh

Prix Recherche et Création
Thibaut Quinchon

Prix Rayonnement artistique
Lydia Mestokosho-Paradis et Kiana Cross

Prix Initiative de lutte contre les changements climatiques
Jean-David Lantagne, Anne-Sophie Lapointe et Jean-Félix Tremblay

Grand Prix LOJIQ
Jonathan Audet, Félix Lapointe et Étienne Boucher

Dans le cadre de son projet de maitrise portant sur la responsabilité sociale des entreprises en lien avec le développement durable,  Mégane Mandruzzato a réalisé une partie de ses recherches dans la ville de Lausanne en Suisse. Afin d’approfondir son sujet de recherche à propos des facteurs déterminants qui jouent dans l’internalisation des valeurs de la finance durable par une entreprise, elle a réalisé des entrevues auprès d’entreprises européennes œuvrant dans le domaine des assurances.  Elle a également interrogé des structures ayant une expertise sur ce sujet tel que l’institut Louis Bachelier et l’Observatoire de la Finance durable. Sa démarche internationale lui a permis d’étudier le contexte organisationnel européen mais aussi de créer un cadre conceptuel mettant en avant des recommandations et inspirations à suivre pour les entreprises québécoises et canadiennes afin qu’elles puissent adopter les meilleures pratiques de gouvernance dans le secteur de la finance durable. Depuis janvier 2023, elle occupe le poste de Cheffe de pratique en développement durable chez IAGroupe financier. Elle est spécialisée en gestion internationale et développement durable dans les secteurs de la finance et des assurances.

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Cindy Romero-Luarca est co-présidente directrice générale de l’entreprise HerbiaEra où elle a débuté en 2021 comme spécialiste du financement et des aides gouvernementales.  Elle possède une expertise en administration et en financement des entreprises. HerbiaEra est une entreprise innovante qui développe et commercialise des solutions technologiques qui simplifient la culture d’intérieur. Elle propose un premier modèle de jardinière intelligente qui grâce à son système d’alerte lié au niveau d’eau, avertit l’utilisateur qu’il lui faut remplir le réservoir via son application mobile HerbiaEra. Avec LOJIQ, elle a représenté l’entreprise en Corée du Sud en participant au programme K-Startup Grand Challenge 2022, un programme de formation qui s’apparente à une compétition entrepreneuriale. HerbiaEra a fait partie des 60 entreprises sélectionnées parmi 2 600 à l’international pour suivre ce programme. D’une durée de 6 mois, il vise à former des jeunes pousses étrangères prometteuses afin de leur permettre de pénétrer les marchés asiatiques. Grâce à sa 5e place obtenue à la fin du programme, l’entreprise a reçu le droit d’établir une première place d’affaires en Asie avec la possibilité d’embaucher des Coréens et des Coréennes contribuant ainsi à l’expansion de son entreprise en Corée du Sud.

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Abner Volsaint est originaire de la ville de Petit-Goâve en Haïti. Il est co-fondateur et directeur de la confiserie Soulouquoise, une entreprise agroalimentaire haïtienne. Il a d’abord participé avec LOJIQ à la Grande Rencontre des jeunes entrepreneurs du monde francophone d’avril 2017.  La même année, il revient comme panéliste à une table ronde organisée par LOJIQ dans le cadre de la 23e Conférence de Montréal.  Cette année, il est de nouveau soutenu par LOJIQ dans le cadre du volet Formation au sein d’incubateurs et d’accélérateurs d’entreprises en Francophonie du programme Entrepreneuriat. À titre d’entrepreneur en formation auprès de l’incubateur d’entreprise alimentaire Mycelium, il poursuit un parcours d’une durée d’un an, destiné à toute personne qui désire lancer son entreprise en transformation alimentaire, qui veut valider son produit ou qui souhaite structurer son projet d’affaires. Avec la Confiserie Volsaint, son objectif est de s’approvisionner, produire et distribuer des produits du terroir haïtien de très bonne qualité et de les rendre accessible à tous les consommateurs du Québec.  Pour sa persévérance entrepreneuriale, l’originalité de son projet, sa grande capacité de travail et d’adaptation, il est un bel exemple de ce que les entrepreneurs francophones peuvent apporter au Québec.

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Au-delà des projets qu’a réalisés Laëtitia Vu, c’est la cohérence de toute la démarche de la prochaine lauréate qu’il faut souligner. Via les différentes opportunités offertes par LOJIQ, elle a su repérer les occasions de s’impliquer dans des projets qui lui permettaient de renforcer son engagement au service de la justice sociale et de contribuer à un monde meilleur. Elle a notamment participé aux deuxièmes Rencontres francophones de l’innovation sociale organisées par l’OFQJ en Allemagne, à un séminaire d’échange interculturel en Allemagne, au Forum social des résistances au Brésil et au Forum social mondial de Mexico. Elle a également été retenue comme volontaire par l’organisme Katalizo, une organisation qui a pour objectif de catalyser des échanges d’idées, et de les transformer en actions, en s’appuyant sur le potentiel créatif des communautés. Il est important de souligner la qualité des productions réalisées par cette dernière dans le cadre de ses mandats à Katalizo.  Elle y a été si appréciée pour son appui dans l’organisation de grands événements internationaux à enjeux sociétaux qu’elle a été recrutée par l’organisme à la fin de son expérience de volontariat.

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Salam Bouhabel s’est rapidement trouvé un intérêt grandissant pour l’entrepreneuriat, plus particulièrement dans le domaine des technologies médicales. Diplômée en sciences biomédicales et en innovation chirurgicale, elle a mis à profit son expérience clinique au sein d’une entreprise en prédémarrage en participant aux Missions immersives en Francophonie. Ces missions ont pour objectif de soutenir l’entrepreneuriat féminin et d’encourager les femmes à prendre leur place au sein de l’espace économique francophone. Cette initiative de LOJIQ avait été dévoilée lors de la Journée internationale des droits des femmes le 8 mars 2020. C’est dans le cadre d’une mission immersive, que la récipiendaire a participé à Viva Technologie, le rendez-vous annuel consacré à l’innovation technologique et aux start-up à Paris. Cette mission lui permis de faire connaître son entreprise auprès de potentiels investisseurs et de faire des rencontres décisives qui ont mené à sa participation au programme de Subvention à l’innovation ouverte pour les entreprises émergentes de la Ville de Montréal. Toute sa démarche démontre une remarquable capacité à saisir les opportunités qui se présentent à elle. Suite à son projet, la lauréate a reçu une invitation à participer à une session de présentation éclaire devant des investisseurs durant le Festival de la technologie et de l’innovation Elevate de Toronto qui réunit des innovateurs de classe mondiale et des leaders de l’industrie. 

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Passionnées par l’environnement, la réduction des déchets à la source et la mode lente qui touchent les questions de mode durable, éthique et écoresponsable, Anjelika Jangazina et Anastasiya Orlova sont un impressionnant modèle d’implication dans un projet de société essentiel. Elles démontrent avec leur Projet Zéro Déchet, qu’il est possible d’avoir un impact positif sur la société et que le changement est réalisable, un déchet à la fois, un geste à la fois. Par le biais d’ateliers et de conférences, elles partagent avec la collectivité les ressources existantes et des solutions accessibles à tous pour permettre au citoyen d’être autonome et d’améliorer leurs habitudes de consommation. Elles nous apprennent à adopter un mode de vie économique et écologique, en sachant comment bien trier nos déchets et réduire le gaspillage alimentaire. En mai dernier, elles ont participé à la Tool Fair, la 16e Foire Internationale des outils pédagogiques durables à Marseille, ce qui leur a permis de se perfectionner et de développer leurs outils de formation. Avec le soutien de LOJIQ, leur mission dépasse maintenant les frontières du Canada. Elles ont effet développé un partenariat en Belgique. Nous ne pouvons que les encourager à poursuivre leur engagement et leur déploiement en France et à l’international.

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Le projet  Acokanikew, qui signifie « faire un pont » en atikamekw, a été développé dans le cadre d’une réflexion menée à l’Université de Montréal et intitulée Place aux Premiers Peuples : repensons la persévérance. Il représente l’aboutissement d’une démarche de co-construction entre l’Université de Montréal, la Coop Nitaskinan et l’école secondaire Nikanik de Wemotaci.  Le projet a consisté à faire vivre aux élèves de secondaire 4 et 5 de l’École Nikanik des expériences reliées à différents domaines d’étude à travers un grand jeu immersif afin de les encourager à poursuivre leurs études. Les étudiants de l’Université de Montréal impliqués dans ce projet ont participé au processus de co-création et à l’animation sur place. Les élèves ont été accompagnés durant le jeu par des étudiants autochtones à titre de mentors.  Ce séjour représentait le premier volet d’un projet plus large, puisque cette année, les élèves de l’école Nikanik ayant pris part à l’activité seront invités à Montréal où d’autres activités de sensibilisation à la poursuite des études et de sécurisation culturelle seront organisées. Ce sera aussi l’occasion pour les élèves de revoir les mentors et animateurs ayant participé à la première phase du projet. Pour saluer cette démarche qui contribue à briser les barrières entre les mondes autochtone et allochtone, il nous fait plaisir de remettre le prix Engagement citoyen aux participants du projet Acokanikew.

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Thibaut Quinchon est un artiste qui s’intéresse à l’écologie sonore. Sa pratique s’articule autour de l’enregistrement des paysages acoustiques, réfléchissant par la même occasion à leurs valeurs historiques, sociales et environnementales. Il se concentre principalement sur le territoire québécois, tentant de le mettre en valeur sa biodiversité sonore. L’année dernière, muni d’équipement audio de haute performance, il est parti à la recherche des sons les plus distinctifs de la Minganie. Accueilli par l’équipe de la Station de recherche des Îles Mingan, il a échangé avec des habitants et des naturalistes de la région sur leur attachement à la nature et sur l’évolution des paysages sonores qui les entourent. Sur ces thèmes, il a construit la série d’œuvres Dissociation qui permet de saisir la diversité des paysages sonores du Québec, tout en sensibilisant les auditeurs à la protection de l’environnement sonore. En juillet prochain, l’artiste se déplacera à Saint Malo en France dans le cadre de la programmation estivale de la Maison du Québec. Son projet de prestation artistique réalisé en collaboration avec l’OFQJ et la Délégation général du Québec à Paris, lui permettra de présenter son travail et d’offrir des performances. En marge de ces présentations, il collaborera avec un naturaliste malouin pour découvrir la faune locale et effectuer des enregistrements qui nourriront sa pratique artistique.

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Lydia Mestokosho-Paradis est originaire de Ekuanitshit à Mingan sur la Côte-Nord et Kiana Cross de Kahnawake en Montérégie. Ensemble, ces deux jeunes artistes, ont réalisé durant quatre semaines une résidence de recherche et de création de contenu numérique développée en collaboration avec Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ) et Terre en Vue. Pour la conception de leurs œuvres respectives, les deux résidentes se sont inspirées des ressources et collections de la BAnQ. Elles y ont découvert plusieurs documents originaux qui ont alimenté leurs créations numériques, notamment des cartes et livres anciens témoignant de l’histoire de leurs communautés et de leurs cultures. Leurs réalisations ont été mises en valeur, notamment dans le cadre du Festival international Présence autochtone en août 2022. De plus, en septembre 2022, dès la tombée de la nuit, les œuvres des deux artistes ont illuminé la façade de la Grande Bibliothèque au coin des rues Berri et de Maisonneuve à Montréal. Parce qu’elles se sont montrées impliquées et assidues dans leur démarche, et ce malgré des embûches logistiques et techniques, et parce qu’elles ont fait preuve d’originalité dans leurs créations, elles méritent largement d’avoir ce prix.

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Ils se sont rencontrés dans le cadre d’un projet final de leur maîtrise en génie mécanique à l’Université de Sherbrooke.  Ils s’étaient donnés pour objectif de concevoir et fabriquer un prototype capable de collecter les particules de microplastique accumulées sur la plage de Kamilo Beach à Hawaii, l’un des endroits les plus touchés au monde par l’amoncellement de débris marins. Pour mener à bien ce projet, ils collaborent avec l’organisme à but non lucratif Hawaii Wildlife Fund pour développer leur idée et les guider dans la conception de leur projet. Après plusieurs mois de recherche et de tests au Québec, l’équipe s’est rendue à Hawaii en avril 2019 pour y faire la démonstration du prototype dans un environnement réel et pour procéder à sa mise en service. Le projet a été une réussite et les étudiants ont fait don de leur appareil baptisé « la HO » à l’organisme qui l’utilise depuis pour nettoyer ses plages.  Fiers de cette réussite, trois membres de l’équipe initiale ont décidé de concrétiser leur projet de fin d’études en créant l’entreprise Technologie Hoola One inc.  Leur objectif : continuer d’innover dans le but de restaurer les écosystèmes affectés par la pollution plastique. Hoola One est une entreprise inspirante. Ce sont des entrepreneurs qui sont aussi des citoyens engagés. Ils ont développé une jeune pousse dont le rayonnement dépasse de plus en plus nos frontières.

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Les trois jeunes entrepreneurs se sont rencontrés durant leurs études en génie mécanique à l’Université Laval.  Dès leur deuxième année du baccalauréat, ils fondent leur propre entreprise grâce à l’aide d’un programme d’accompagnement au démarrage d’entreprises innovantes et responsables. Cette entreprise se spécialise dans la conception et fabrication de skis alpins de haute performance entièrement fabriqués au Québec. L’entreprise se démarque par ses préoccupations sociales, environnementales et ses objectifs de réduction de son empreinte écologique. Leurs produits sont conçus et prototypés dans un laboratoire de recherche et développement situé à Beaupré et leur mise en production se fait du côté de Rimouski. De leur ancrage régional, ils ont rapidement développé leur réseau national et international. Soutenus à plusieurs reprises par LOJIQ pour des missions de prospections commerciales dans l’Ouest canadien, l’Ouest américain et en Europe, ils ont multiplié les opportunités de développement international et ont réussi à accroître leur marché de distribution à chacune de leurs missions. Pour une entreprise créée en 2019 par trois étudiants, ce qu’ils ont accompli est un exploit. Remarqué par l’organisme nord-américain Blister, une référence en matière d’évaluation de skis, leur modèle de ski Pionner 104 a reçu des critiques élogieuses, devenant ainsi le premier ski québécois à se tailler une place dans ce prestigieux palmarès! Plus près de nous, soulignons leur passage remarqué à l’émission Dans l’œil du dragon et les honneurs remportés au Gala OSEntreprendre, un partenaire important de LOJIQ dans l’organisation de missions économiques et commerciales pour de jeunes entrepreneurs. Voilà une jeune entreprise québécoise inspirante qui a un beau rayonnement au Québec et un développement exponentiel au Canada et à l’international.

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