22 février 2024
L’Économie sociale et solidaire au coeur des RIS à Niort
Du 29 janvier au 1er février, 20 jeunes soutenu‧es par LOJIQ ont participé aux Rencontres francophones de l’innovation sociale. Une soixantaine de jeunes provenant de 13 pays de la Francophonie se sont retrouvé‧es à Niort, en France, pour cette 3e édition.
Organisée par la section française de l’OFQJ, l’événement proposait 2 thématiques :
– Le Modèle coopératif, un modèle innovant au cœur des transitions
– L’Innovation sociale au service de l’écologie, de l’environnement et de la lutte contre les dérèglements climatiques
Marianne Beseme, secrétaire générale de l’OFQJ en France, accompagnée d’Yves Pellicier, président de la MAIF, ont prononcé les mots d’accueil de la première journée.
Les participant‧es ont ensuite assisté à 2 conférences. L’une était intitulée Les Synergies francophones : coopération et innovation sociale ; l’autre, L’ESS et les bonnes pratiques de développement : récits de projets innovants. Ces conférences étaient animées par le journaliste Sébastien Poulet-Goffard, co-fondateur de la Compagnie générale des Autres.
En fin de journée, les jeunes ont visité 2 organismes solidaires en alimentation et en recyclage :
– Cabas Solidaire, une épicerie solidaire qui milite pour un accès digne et durable à une alimentation de qualité pour tous
– Bazar Solidaire, une ressourcerie issue de l’économie solidaire et active dans le développement local à Niort
Lors de 2e journée, les délégué‧es ont participé à un hackathon, animé par Osons Ici et Maintenant. L’objectif du hackathon est de permettre aux parties prenantes de collaborer activement à la résolution d’une problématique rencontrée par des porteurs de projets issus de la délégation.
Pour Audrey Laliberté, étudiante à la maîtrise en gestion de l’innovation sociale à HEC Montréal, cette activité a été une expérience enrichissante : « J’ai été surprise de constater à quel point il a été possible de créer des solutions originales pour aider nos collègues au sein de leur organisation en si peu de temps. »
Ces 4 jours ont permis aux jeunes québécois‧es de tisser des liens forts avec d’autres francophones, en partageant leurs intérêts sur l’ESS et l’IS.